Les pentes douces et boisées du massif du Regagnas, au cœur de la Haute Vallée de l’Arc non loin de Peynier, sont un large belvédère face à Sainte-Victoire. Au départ du Hameau des Michels, PK du Restaurant Les Michels, 7 rue du Chêne de Louiset, nous ferons un circuit de part et d’autre du ruisseau du Verdalaï. Sur pistes et sentiers agréables dans la pinède, nous pourrons admirer la ‘’Sainte’’, la montagne bleutée et, à ses pieds, comme un socle, le plateau du Cengle, ceinturé de falaises.
Inscription obligatoire avec votre lieu de RV au plus tard la veille :
par MAIL : brigitte.cazeres@free.fr
ou par SMS : 06 20 53 01 69
– 1er RV : 13h20 à Trets sur le parking d’Auchan, bd de l’Europe (D 6 vers St-Maximin).
Covoiturage à organiser.
Trets > Les Michels : 9,2 km – 13 mn par D6 et D56c.
– 2e RV : 13h20 au Canet-de-Meyreuil à l’Auberge Provençale, Impasse de Provence, D7N route d’Aix. Se garer dans l’impasse après le restau.
(Waze : Impasse de Provence, Meyreuil). Covoiturage à organiser.
– Aix > Le Canet : 8 km, 10 mn par A8 vers Nice, sortie 32 Fuveau/Trets (péage 1 €). Au rond-point, à droite D7n vers Aix sur 50 m. L’Auberge Provençale est sur la droite.
Ou par Palette D7n : 8 km, 15 mn.
– Le Canet > Les Michels : 12 km, 15 mn par D96 vers Fuveau-La Barque et D6 vers Trets. Puis prendre à droite la D56c vers Les Michels.
– 3e RV : 13h40 au Hameau des Michels sur le parking du Restaurant Les Michels, 7, rue du Chêne de Louiset, 13790 Peynier (très bon restau ouvert de 12h à 14h).
Départ de la rando.
– D’Aix : 19 km, 24 mn par A8 vers Nice, sortie 32 Trets/Fuveau (péage 1 €). D96 vers La Barque et D6 vers Trets. Puis prendre à droite la D56c vers Les Michels.
– De Puyricard : 29km, 30mn. RV à 13h sur le parking de la Salle des Fêtes, av. Jean Orsini.
– De Cassis : 39 km , 40 mn par A52 sortie 33 Trets/Fuveau/Gréasque/Belcodène. Suivre D96 vers Fuveau et D46 vers Fuveau. Dans Fuveau, suivre D46 vers Trets/Rousset et après le pont D46b vers Fuveau/Belcodène et enfin la D57a vers Les Michels.
– De Marseille (7e) : 44 km, 48 mn par A51 vers Aix, sortie 2 vers Gardanne. Suivre la D6 vers Trets et prendre à droite la D56c vers Les Michels.
Restaurant LES MICHELS, 04.42.26.28.56 (réservation nécessaire pour y déjeuner).
7 rue du Chêne de Louiset, les Michels, 13790 Peynier
https://www.restaurantlesmichels.fr/
Application gratuite WAZE sur votre portable pour vos déplacements.
Pour cette rando, entrez : Restaurant Les Michels, Peynier
LE COIN DES ‘’SAVANTURIERS’’
(La lecture nuit gravement à l’ignorance)
Au sud de Sainte-Victoire, la commune de Peynier, 3 650 Peyniéren(ne)s en 2021, s’étend de la plaine de l’Arc aux pentes du massif du Regagnas.
Au nord, le fleuve de l’Arc forme une frontière naturelle avec la commune de Rousset. Il prend sa source à Pourcieux (Var), dans les monts Auréliens et s’étire sur plus de 80 km pour se jeter ensuite dans l’étang de Berre.
Plusieurs affluents de l’Arc traversent la commune. Les plus importants sont les ruisseaux de la Foux et du Verdalaï qui se situe au centre de notre circuit. La Foux est formée de plusieurs autres ruisseaux : la Badarusse, le vallat de Branguier et le Garafari -ou vallat du Puits de L’Auris-. De même le Verdalaï reçoit les eaux du vallat de Tourenne.
Le nom de Peynier est dérivé de Pui Neroni, ‘’le puits noir’’ qui trouve son inspiration dans les couches de lignite affleurant sur les collines au sud-est.
C’est un village agricole très ancien (vestiges celto ligures), Ancienne seigneurie des vicomtes de Marseille et des abbés de Saint-Victor, qui y furent prospères jusqu’en 1357, Peynier fut successivement la propriété de plusieurs familles…
C’est à la fin du XVe s. et au début du XVIe que nait le hameau des Michels qui est alors une simple bastide.
En 1487, Louis Michel, originaire du village d’Auriol, est propriétaire de nombreuses terres à l’ouest de la commune, aux lieux-dits « le Défens » et « le Pas des Charbonniers », non loin du chemin de Fuveau. Ses descendants restent propriétaires de ce domaine et l’agrandissent.
Au XVIe siècle, on trouve pour la première fois une mention d’une bastide, dite « des Michels ». Les anciens lieux-dits disparaissent alors au profit de cette appellation.
Par la suite, aux XVIIe et XVIIIe siècles, la famille Michel s’agrandit et se divise en plusieurs branches qui restent dans cette bastide, construisant de nouvelles dépendances. C’est au moment de la Révolution française que l’on voit apparaitre pour la première fois la dénomination « hameau des Michels’’.
Le château d’eau, construit en 1956, est aujourd’hui désaffecté. Cette grande tour, visible depuis toute la vallée, témoigne de l’arrivée de l’eau courante au hameau.
dernière modification le 2 décembre 2024 par Robert